Une fois de plus, le Conseil Municipal du 2 février n’explique pas ce qu’a fait M. Pasquier pendant près de une heure sur ce parc privé.
Mais un des salariés du camping permet de deviner, voici son témoignage écrit (remis à la justice):
Vendredi 11 novembre 2022
À 15:30
Monsieur Pasquier, Premier adjoint de la mairie de Ondres.
Ci-joint en image.
Explication de la situation
La journée du 11 novembre 2022 fut perturbé par de nombreux aller et retour notamment des agents communaux de la mairie d’Ondres. Prenant en vidéo, photo tout nos fait des gestes, tout était scruté avec sentiment de malaise.
Monsieur Pasquier premier adjoint de la mairie d’Ondres s’est présenté à moi ainsi qu’à mes collègues, et a directement sorti son téléphone de sa poche pour le pointer devant mon visage et a volontairement et à mon insu sans mon autorisation et mon consentement écrit, a pris une photo de moi.
Tout cela sur mon lieu de travail au Green Resort alors que nous étions tous en train de travailler calmement en équipe.
À la suite de cet incident j’ai gardé mon sang-froid et je suis donc venu vers lui en lui informant mon mécontentement, et que je n’avais absolument pas donné l’autorisation de cette image volée.
À la suite de ça je lui ai demandé de me montrer les photos qu’il avait pris de moi ainsi que de mes coéquipiers. Sur un ton affirmé il m’a dit qu’il n’avait pris aucune photo de moi.
Nous avons donc vu ensemble sa pellicule de photos sur son téléphone privé a ma demande.
Et ne remontant pas assez loin sur sa pellicule je lui ai demandé encore une fois de bien tout montrer et c’est à ce moment-là que j’ai bien vu des photos de nous, de moi sur mon espace de travail.
Tout en criant sur moi en me demandant je cite « qui t’a envoyé ici ? pourquoi tu viens de faire ça? »
Je lui répondu qu’à mon âge j’étais assez grand pour régler mes problèmes tout seul et que je n’avais pas besoin de quelqu’un.
Monsieur Pasquier a continué à lever la voix sur moi, tout en me disant que si c’était un problème il effacerai toutes les photos, puis a continué à hausser la voix, rouge de colère, hors de lui, agressif tout en répétant que toutes ces histoires n’était que des « conneries connerie connerie connerie. »
Après quoi je me suis retourné puis parti pour éviter d’autres histoires, puis j’ai repris le cours de ma journée et effectuer mes tâches journalières en équipe.
À se demander si le pouvoir ne rend pas fou. Agression verbale d’un agent de la commune sur un salarié.
Non respect de la vie privée d’autrui.
Non respect de l’image
Mensonge, et tentative de déstabilisation.
Sans commentaire !