L’arrêt maladie (ITT de 8 jours) de Mme Le Maire remis aux gendarmes a servi à accuser le gérant du camping, déclencher sa garde à vue, et la perquisition de son domicile. Voir article « Mme le Maire met les salariés au Tribunal …).
Or l’emploi du temps de Mme Belin (selon ses propres publications sur Facebook) démontre qu’elle ne s’est pas arrêtée durant la période en question. Au contraire, elle n’a rien changé à sa routine de réunions, de rendez-vous, d’inaugurations, de fêtes, …
Donc elle n’était pas malade ?
Est-ce que tout cela n’est qu’une mise en scène pour faire condamner le gérant du camping , comme elle l’avait fait dans la plainte contre M. Geraudie (voir article «Mêmes méthodes d’intimidation … » ), adjoint au Maire de Saint Martin de Seignanx, et Vice Président de la Communauté de commune ?
Son emploi du temps démontre qu’elle ne s’est pas arrêtée de travailler malgré l’arrêt du médecin, et malgré son “instabilité psychologique”:
Extraits de son emploi du temps:
– le 24 mai elle envoie sa lettre au procureur se plaignant de harcèlement, de dépression, … Elle écrit:
je suis nerveusement épuisée par cette peur et ce harcèlement. :« Je suis contrainte d’annuler des réunions, des rendez-vous, des inaugurations parce que je suis prise de crise de larmes et d’angoisse »
– puis, le 26 mai elle participe à l’inauguration de la voie verte.
Il aura donc suffi de 2 jours pour qu’elle se refasse une santé ?
8 juin : elle dépose plainte à la Gendarmerie, présente l’Arrêt Maladie, et l’attestation de troubles psychologiques.
Pourtant, durant cette période de soit disant arrêt de travail, elle a pris des décisions très importantes pour le village:
– le 15 juin : Décision du Maire – DM no 40 : Attribution de marchés de travaux école pour plusieurs millions d’euros.
- Était-elle autorisée à le faire malgré sa maladie et son arrêt ?
- Et malgré son état psychologique altéré ?
– le 16 juin : Décision du Maire – DM no 41 – réalisation d’un emprunt de 2 600 000 €
- Elle engage le village pour des années de remboursement.
- Est-ce que cette décision est frappée de nullité ?
- Est-ce que les ondrais sont au courant ?
- Pourquoi ne pas en avoir débattu en Conseil Municipal ?
Fêtes d’Ondres : vendredi 30 juin, samedi 1er, dimanche 2, lundi 3 juillet :
Les ondrais ont pu vérifier que la mairesse était bien aux Fêtes du village, pas du tout dépressive!
Bal nuit du vendredi 30 juin au 1er juillet : Eva un verre à la main.
« J’ai peur pour mes 2 enfants de 11 et 14 ans que je n’ose plus laisser seuls » écrivait-elle dans sa lettre au procureur.
Les a-t-elle mis à garder durant les 3 jours de fêtes du village ?
Fêtes de Bayonne :
Notre mairesse semble se porter beaucoup mieux. Alleluia! Elle a même retrouvé l’appétit. Pourtant n’écrivait-elle pas au procureur :
« (…)Je suis physiquement fragilisée par l’absence de sommeil et la perte d’appétit. »
« Je suis contrainte d’annuler des réunions, des rendez-vous, des inaugurations parce que je suis prise de crise de larmes et d’angoisse (…) »
Ainsi, l’emploi du temps de E. Belin ne montre aucune période d’arrêt durant la période précédant le dépôt de plainte, ni les jours suivants.
Que vaut alors sa lettre au procureur ?
Par respect pour ses fonctions, ses co-listiers, et ses administrés, elle se devait d’informer officiellement le Préfet, le Conseil départemental, la Communauté des communes, le conseil municipal, …). L’a-t elle fait ? (Au sein d’une entreprise, un salarié frappé de dépression informe sa hiérarchie et rentre chez lui).
Qui a-t elle informé à Ondres, à Mont de Marsan ?
Enfin, si elle est vraiment malade, elle doit s’arrêter de travailler, et se soigner.
A moins que tout cela ne soit que une mise en scène, avec instrumentalisation des gendarmes, du procureur, de la justice, … comme elle l’a déjà fait dans le passé.
Il faut l’interner si elle est si malade que ça et la faire remplacer 👹👹👹👹👹👹