Comme suite aux 2 décisions de justice défavorables à la commune, et suite à l’ordonnance du 20 décembre qui décidait « la reprise des relations contractuelles », le concessionnaire a adressé une demande de rendez-vous à Mme le Maire, afin de pacifier les relations :
(A noter que de nombreux rdv ont été demandé depuis un an et demi par le concessionnaire, en vain. Les preuves de ces demandes ont été remises aux juges qui ont pu constater le refus de dialogue du premier élu du village.)
Nous vous livrons ci-dessous la réponse choquante, indigne d’un élu de la République :
Rien ne peut justifier ces attaques personnelles. Ces attaques sont inadmissibles. Eva Belin aura certainement à en répondre devant les tribunaux.
La justice a tranché et ordonne la reprise des relations, Mme le Maire ne peut s’y opposer. Pourtant Mme le Maire semble ne pas avoir compris cette décision de justice, et demande au concessionnaire de signer un nouvel « avenant » ?
Nie-t-elle la réalité ? Elle a déclenché et entretenu cette crise pendant près de 2 ans. Or, le match est fini, la décision du Conseil d’Etat est définitive, il lui faut assumer les conséquences.
Au final, est-ce qu’un tel comportement et de tels écrits sont acceptables de la part d’un élu qui représente le peuple et est payé par le contribuable ?
Pourquoi se présenter aux élections si on n’accepte pas la contradiction, et surtout le dialogue ? Le dialogue nourrit la démocratie et solutionne souvent les crises.
Après de tels écrits, les électeurs sont en droit de se demander si Eva Belin est digne des 6000 ondrais dont elle est maire, des 30000 habitants du Seignanx, dont elle est Vice Présidente, et des 450 000 landais, dont elle est Vice Présidente au sein du Conseil Départemental des Landes ?
Sa réponse à la limite n’est pas surprenante, quand on voit la façon dont elle coordonne cette affaire depuis le début.
En revanche la demande de Patrick à coopérer et réintégrer une “relation”est propre et digne d’un patron d’entreprise qui reconnaît la nécessité de mettre son intérêt/ego de côté pour le bien de des employés, de la communauté et des habitants de Ondres.
Victoire à la dignité et honte a la bassesse humaine